samedi, décembre 23, 2006

Quand la nuit s’abat

Quand la nuit s’abat,

Et que tu te blottie dans tes draps,

Pour échapper au froid,

Mes bras, ne te manques t-ils pas ?

* * *

Quand l’astre de la nuit se lève,

Qu’une journée longue et pénible s’achève,

Quand la nuit t’accord une trêve,

Es ce de moi que tu rêves ?

* * *

Es ce que quand une autre journée s’annonce,

Et qu’a ton sommeil si doux tu renonces,

Et que dans les tumultes de la vie tu te lances,

Es ce que c’est a moi que tu penses ?

* * *

Etre ton homme,

C’est mon vœu le plus cher.

T’avoir comme femme,

C’est la source de mon bonheur.

* * *

Ton amour me donne des ailes et me transporte,

J’us qu’au seuil de ta porte.

Je t’entends, là derrière, respirer,

Voudrais tu m’ouvrir et me laisser entrer ?

* * *

Sens tu mes mains qui te parcourent sans répit ?

Mes baisers qui te couvrent du plus bel habit ?

Mon amour qui te pénètre j’us qu’a c ce que tu en jouis ?

* * *

Désormais ta main ne t’appartient plus, elle est mienne. Elle rode sur ton ventre, comme dans une pleine. Elle escalade tes monts, se plait a s’y attarder. Se dirige vers la source, le doux nectar de tes lèvres pour s’y abreuver, et l’embrasser. Elle se perd dans tes cheveux, ses champs de blé dorés, pour s’y promener. Puis se jette entre tes jambes caressant ce bouton d’amour pour te faire vibrer et par le feu du plaisir te consumer.

* * *

Je suis en toi, je vais et je viens

Dans mes bras je te tiens

Et du bout de ma langue j’effleure tes seins

Une fièvre intense parcours nos corps

Qui se battent encore et encore

A pleines dents tu me mords

Pour étouffer ce cri

Qui veux dire que tu jouis

Pour que je continue mes mouvements

Jus qu’a ce qu’on s’écroule d’épuisement



vendredi, décembre 22, 2006

Le repos d'un nomade

Mon cœur nomade a visité tant de pays

Sans pour autant se trouver de patrie

De voyage en voyage il se lancait a la poursuite d’un mirage

Un reve qu’il dessinait par des mots

En souffrant d’une realité qui l’accomblait par ses maux

Longtemps il a erré

Ce soir il renait

Mon cœur a posé ses bagages

Il a attein son derniere rivage

Ce parloire de l’ame que sont ses yeux

Mon cœur est chez lui, comblé et heureux

vendredi, septembre 08, 2006

Le vide

Quand les appels au secours de l’âme ne trouvent plus d’écho. Quand l’esprit regarde interdit le naufrage de l’être. Quand du ‘Moi’ il ne reste plus que le paraître.

Tourné vers l'avenir...

Je suis en colère
Contre tout les portes fermes
Et que je ne peux pas défoncer

J’ai la haine
Contre cette misère
Et ce calvaire qui m’exaspère

J’en ai marre
De toute cette ignorance
Doublée d’insouciance

Je suffoque
Etranglé par la vulgarité
Et le manque d’honnêteté

Comment survivre ?
Dans cette jungle urbaine
Dans ce monde devenu obscène

Comment se faire entendre ?
Par ces sourd de l’intellect
Imperméables a toute les requêtes

Point ne suffit
De contempler et constater
Cet état de fait devenu fatalité

Je dois lutter
Si je veux m’améliorer
Si je veux tout changer

Tourné vers l’avenir
Je marche et j’avance
Fier et plein d’assurance

Défiant l’adversité
Je vise la prospérité
Aspirant a la postérité

Ma sirène

Dans ses yeux j’ai vu l’innocence

La pureté et l’insouciance

Avec ses mots elle m’a raconté sa vie

Laissant libre cours a son esprit

Elle croyait tout savoir

De ce monde que je considère illusoire

Elle parlait de rêves de projet et d’espoirs

Tout lui semblait si facile et évident,

Moi je l’ai crue pendant quelques instants

Elle m’a réconcilié avec mon moi enfant

Cet autre moi qui au fil du temps

C’était tissé un cocon

Une armure qui l’a protégé ces années durant

Contre le sort la haine et les trahisons

Aurait-t-elle percé cette chrysalide,

Qui le préservait de ce monde hostile et avide ?

Ou y aurait-elle simplement insufflé,

Un sentiment pur et léger ?

Nouveau et différent de tout ce qu’il connaissait ?

Poéte

Je me tais et j’entends des rimes

Des phrases, des mots, des synonymes

Des vers qui arpentent ma pensée

Des images sur une musique colorée

Des échos de mon esprit

Que sur du papier je retranscris

Un souffle de mon âme

Que ma plume entame

Et que mon imagination enflamme

* * *

Je me plait à me voir poète

Un miroir à mille facettes

Où le monde et la vie se reflètent

Un catalyseur de joies et de peines

Un analyste de la condition humaine


Mon coeur est lourd...

Mon cœur est lourd
Et mes maux sont durs
Il n’y a pas d’issus de secours
Ni un chemin de retour
Ma voie est loin d’être tracée
Mon destin n’est pas non plus scellé
Je n’ai presque plus de voix
Pour crier mon désarroi
* * *
Au fond de moi j’ai la haine
Car c’est toujours la même rengaine
« Fais comme ci fais comme ça
Et presque tout tu auras
Des exploits tu réaliseras
Des miracles tu accomplira »
J’aimerai pourtant bien y croire
Mais je n’y vois que du noir
En mon âme une bataille s’annonce
Un combat pour la délivrance
Je dois vaincre mes démons
Pour mettre fin a mes souffrances
Faire preuve d’endurance
Pour acquérir mon indépendance
Aller au-delà de la persévérance
Pour atteindre l’excellence
Ce n’est pas chose aisée
Mais c mon combat ma destinée
Je ne reste pas les bras croisés
Il n’y a pas de temps pour se reposer
Mais je dois bien l’avouer
L’envie m’a souvent tenté
Mais à chaque fois je me ressaisie
Et je me replonge dans ma frénésie
* * *
Est-ce un mirage que je poursuis ?
Est-ce une réalité que je fuis ?
Qui suis-je ?
Un rêveur incompris ?
Un ambitieux inassouvi ?
Des frustrations ensevelies ?
* * *
Mon voyage est loin d’être fini
Car je suis encore en vie
Et j’en ai encore envie
Alors je me relève, je rêve et j’agis

En parlant d'illusions !


Mes illusions sont le vent qui me pousse a réaliser mes reves, meme si je dois beaucoup ramer pour y arriver!

A développer .....

Si tu n’as jamais eu de problèmes ce poste ne te concerne pas !


Il y’a des jours ou tu te sens tellement dans la merde que tu n’ose même pas te lever de ton lit et sortir de ta chambre. Des jours ou tu parcours ton blog tes écris et tes photos pour chercher des traces de bonheur des preuves que toi aussi tu a été heureux et sans soucis un jour !


Mais je ne vais pas en dire plus sinon je replonge dans la dépression ! Je suis comme ça moi, je ressens plus les choses quand je les écris, elles s’amplifient !

Et puis un ami m’a dit «le désespoir c'est pour les gens sans convictions et sans buts.. » je tien à le remercier car c’est de ces mots dont j’avais besoin pour avancer. MERCI Nadhem. Beaucoup de gens méritent aussi ma reconnaissance. Nul besoin de les nommer. Ils savent qu’ils comptent vraiment pour moi.

J'en ai marre des mots......

Agir !

Qu’est ce qui a fait que je bascule lentement et inconsciemment dans ce mode de vie nocturne ?

J’entame mon écrit avec une question ! N’est ce pas le plus court chemin vers ce dont j’ai besoin ? J’ai besoin de réponses j’ai besoin de clarifier et de mettre en ordre mes pensées. Pourtant j’avais des buts précis une trajectoire, un plan que je dessinais pour ma vie.

Le soleil se lève pour annoncer un autre jour, pou m’annoncer un autre défis et une nuit de moins dans ma vie.

Que suis-je sensé faire ?

Comment m’affranchir de se calvaire ?

Je deviens passif je m’abandonne.

Je n’ai plus en moi cette voix qui raisonne

‘Met toi en garde et bat toi

Tu auras tout ce que tu voudras

Et la fatalité tu vaincras ‘

Désormais

Je vois la vie comme un poison

Qui, à chaque seconde, à chaque instant

Me vole une parcelle de mon temps

Et moi je reste planté là a rien faire

Je me sens impuissant et ça m’exaspère


J’en ai assez d’écrire il faut que je me lève pour agir !

Bout de papier....muse incarnee

Donc me voila encore une fois face a une feuille blanche
Elle me fixe, je reste taciturne
Je serai ta compagne cette soirée
C’est ce qu’elle me disait…..
Et doucement dans le cou elle me chouchoutait
Parle exprime toi
Laisse tes mains me sculpter
Fais de moi le miroir de ton âme
Laisse l’encre de tes pensées
Me couvrir, me tatouer
Laisse sur moi tes empreintes
J’aime a sentir tes doigts sur ma peau blanche nacrée
Abolie tout les tabous Repousse toutes tes craintes
Noie toi en moi
Perds toi et oublie tout

Lui et Elle; une nuit si Belle!!

LUI
Le calme s’installe et la nuit s’impose. Les bruits se fonts rares et dans le silence de la chambre on commence a distinguer le bruits d’un crayon qu’on promène sur une feuille. Il trouvait ce bruit suave et familier. C’était elle qui tenait sa planche de dessin. Un crayon dans la main. Elle esquissait des formes et des lignes. Elle lui semblait toute une autre personne. Elle n’avait plus ce si doux sourire qui illuminait d’habitude son visage. Cette fois elle avait une étincelle étrange dans ces yeux. Elle s’appliquait avec détermination dans ce qu’elle faisait. Toute son attention, toute sa concentration était réservée à son œuvre. Il en était jaloux !! Il observait avec envie cette planche, objet de toute son attention, tenant de déceler la cause d’un tel engouement. Il essayait de décrypter les expressions de son visage. Tantôt elle souriait tantôt elle boudait et quelques fois elle laissait sa main se perdre dans ses cheveux. Lui il restait perplexe. Devait-t-il l’arracher à son œuvre ou au contraire devait-t-il se contenter de l’observer. Elle, elle agissait comme s’il n’était pas là. Lui il trouva que c’était une occasion unique de l’observer. Il la regardait comme pour mémoriser chaque trait de son visage chaque courbe de son corps.
ELLE
Une ambiance détendue semblait s’installer ce soir, ils rigolaient, sortaient des blagues débiles mais elle, elle pensait à un tas d’autre choses : et si ça dégénérait ? C’est devenu si évidents ces jours ci …pensait aussi à ce nouveau qui était là au milieu de tout ce beau monde, ça faisait limite bizarre de retrouver une complicité avec quelqu’un qu’elle connaissait à peine..

lui c'est moi et elle c'est sinner...

Celle qui ne ressemble à aucune autre me manque

Ma muse d’une nuit une hypothétique compagne de vie.
Un bonheur éphémère, un amour sincère et une peine amère.
Une allure distinguée, un esprit révolté
Une âme honnête aux courbes parfaites

J’ai quitté mon pays...


J’ai quitté mon pays, ma famille et les gens qu j’aime.
Je me retrouve presque seul dans un monde qui m’est nouveau.
Un monde que je convoite et qui m’ignore.
Ici, aucun visage ne m’est familier, aucune rue que je connais.
Tout est grand, tout est beau et brillant.
Tout est impersonnel insipide et navrant.

Ce pays parle une langue qui se compte en billets et si tu n’as que de la monnaie personne ne va t’écouter.

Se fut une journée merveilleuse

Se fut une journée merveilleuse
Toi tu étais radieuse
Moi j’étais amoureux
D’une femme aux gestes doux
Un ange sur terre incarné
Dans un si joli corps de fée
Comment pourrai je ne pas l’aimer
Elle si douce si intentionnée
Je n’arrive pas encore à réaliser
Ma chance de l’avoir rencontrée

Je voudrai que tu m’aimes

Je voudrai que tu m’aimes
Sans arrières pensées
Que tu m’aimes sans compter
Que tu m’aimes pour de vrai
Car moi je te garde dans mon cœur
Une place d’honneur
Je t’y garderai encore et pour toujours
Au nom de notre amour.

Désepoir...

Dubaï 23-02-2006
Il est 2H
Il semble que je ne puisse écrire qu’a cette heure tardive, quand tout le monde, ou presque, dort !!
C’est comme si la présence de gens inhibait mes pensées, les polluaient. Ça me soulage d’écrire, de traduire en mots et phrases mes sentiments.

Justement !! Je me suis mis cette nuit à écrire pour exprimer un sentiment qui m’accable. Le mot pour exprimer ce sentiment est désespoir. Un mot simple sensé traduire un état d’âme!
Mais derrière ce mot se cache –du moins selon moi !- une peine ‘corrosive’ et dure à supporter. Il traduit un sentiment d’impuissance face aux aléas de la vie, prouve un refus de l’échec et signifie une incapacité de se projeter positivement dans l’avenir.
J’ai l’impression que je dissèque ce mot comme pour le comprendre à fin de rationaliser cet état de panique passive qu’est le désespoir.

J’évite de décrire ce que je ressens de peur que les phrases amplifient mes maux.

Et puis cela ne sera d’aucune utilité ou aide, ni pour moi, ni pour ceux qui me lisent. Car toute personne ayant de l’esprit, de l’ambition et un minimum de responsabilités a dû faire face à ce démon.

J’en viens donc à la cause de ce post…
Je m’adresse à toi qui à pris la peine de parcourir ces quelques lignes qui ne sont en faite qu’une requête simple.

Réponds à mes questions.
Peut-on triompher de ce démon ?
Et comment ?
Comment reprendre espoir ?
J’aimerai bien le savoir !

Se battre contre des moulins a vent !!

Se battre contre des moulins a vent !!
C’est l’impression que j’ai de ma vie ces jours ci
Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour avoir l’illusion de contrôler mon destin
Illusion, contrôle et destin !! Les trois mots clé de ma vie !!
Pour bâtir mon destin j’essaye de contrôler ma vie mais ma vie est une mosaïque d’illusions.
Un calvaire qui se prolonge qui m’étouffe. Je m’enfui dans mes rêves je cherche refuge dans les pages blanches que je profane avec ma souffrance. J’y essuie mon amertume mon désespoir. J’écris pour me soulager. J’écris pour me parler. Car rares sont les personnes auxquelles je pourrai me confier. Et puis je n’aime pas trop parler j’aime mieux écrire. Quand j’écris je crée je façonne et je contrôle. Je peu effacer et tout recommencer, je peur reformuler, améliorer. J’aimerai tant avoir ce même pouvoir sur ma vie sur le cours des choses.
Je regarde le temps passer. Il s’écoule entre mes doigts j’essaye de le retenir de le stopper. Tout autour de moi s’effondre. J’essaye de colmater mais l’édifice s’obstine à s’effondrer. La réalité que je combat se dresse tel des mures pour emprisonner mon esprit. Ses mures s’érigent en labyrinthes. Chaque jours qui passe ses mures se rapprochent, le labyrinthe s’étend. Dans ma solitude je cherche avec peine mon fil d’Ariane un rayon de lumière qui se fraye un chemin entre les fissures de la réalité. Ce rayon on l’appelle espoir moi je l’appelle Dieu.

Épisode n°1 : L’aurore

J’ai assez de souvenirs de mes premières années pour pouvoir dire que j’ai eu une enfance… ‘Enrichissante’. J’hésite à employer le mot ‘heureuse’ car, avec le recul que m’accordent ces quelques années passées, ce n’est guère ce qui m’importe le plus. Certes, comme tout le monde j’ai rit, un peu, beaucoup ou pas assez, je ne saurait trop le dire !!
J’ai grandi entre la maison de ma grand-mère rue Pierre Curie et notre petit appartement rue Madrid. En plein centre ville avec tout son boucan ses rues toujours sales et ses vielles bâtisses avec les failles qui se ramifiaient sur leurs façades, des rides, marques du temps qui passe.
C’était toujours l’hiver, ou du moins c’est l’impression que j’avais. Il me semble que le cycle des saisons n’avait pas d’emprise sur cette parcelle infime du monde, mon monde! En fouillant dans ma mémoire je ne vois que de la brume les flaques d’eau au pieds des arbres dénudés. Les traces d’une pluie nocturne. Je me souviens des réveils froids et pénibles – et dans mon esprit d’enfant c’était la pire des injustices -avant même que le soleil ne se lève !!
Je me souviens des vêtements gelés que je devais me passer, la brique de beurre glacé que j’arrivais avec peine à étaler, le pin de la veille qu’on grillait, le lait sur le feu qu’il fallait surveiller.
Heureusement qu’il y avait l’eau chaude !! L’apothéose de mon rituel matinal quotidien. Je la laissait couler j’us qu’a ce que cette vapeur chaude et chaleureuse, que j’aimais tant inhaler, remplisse la pièce. Le contacte de l’eau brûlante avec mes mains et mon visage me vivifiait me revigorait ; une sensation à la fois douce et violente qui me plaisait.
Ce n’est qu’après ce baptême que j’étais prêt à outrepasser le seuil de mon chez moi.

…à suivre !!

Qu’est ce sentiment qui m’envahie ?

Qu’est qui fait que l’on s’attache a une personne si rapidement ?
Qu’est qui fait que les mots deviennent inutiles pour se connaître ?
Qu’est qui fait que les idées fusent dans deux esprits et les fusionnent ?
Qu’est qui fait que les regards deviennent des vers et les sourires des proses ?
Qu’est qui fait que l’on devienne soudainement poète ?
Qu’est qui fait que toutes les peines s’estompent ?
Qu’est qui fait que tout s’embellit ?
……………………………………..
…………………………
...............

Sublime soirée

Hier j’ai passé une soirée sublime. Le cadre était idéal, tout était calme, le froid et l’humidité ne faisaient qu’attendrir la nuit qui nous réunissait.
Et puis il y avait Toi…
J’essaye de me remémorer le plaisir que j’ai eu en ta compagnie mais ma mémoire me fait défaut. Comme si mon esprit refusait de reléguer au rang de souvenir ce qui c’est passé cette nuit là.
Les discussions que nous avons eu, les gestes, les mots et les regards qu’ont s’est partagés me semblent trop beaux pour être vrai.
Pour une fois tout était différent de ce que j’ai connu auparavant.
Si c’est ça l’amitié, je suis soulagé, je n’ai plus besoin d’aimer !!
Je t’ai confié ma vie et mon cœur comme un grand livre ouvert.
Je t’ai compté mes rêves, mes désirs les plus chers et mes craintes les plus amères.
Tu était à mes cotés entrain de m’écouter pas par politesse ni par curiosité mais à mon avis il y avait une certaine complicité.
Nos vies et nos histoires se croisent et se ressemblent. Nous avons fait et faisons toujours face aux épreuves de la vie.
Nous aimons de la même façon et avons le même besoin inné d’être aimés.
Nous cherchons tout deux notre voie, un sens a la vie et quelqu’un sur qui on peu compter.

Pour l’instant je n’ai plus que ces quelque mots a te dire :
Nos vies débutent
Laissons nous guider par nos rêves
Dieu seul sait de quoi demain sera fait

Le Doute...

Quand on aime tout devient beau !! Certes, mais il suffit d'une infime parcelle de doute pour que la vie devienne un enfer.
Quand on est certains de ses sentiments et que l'on doute de leur écho dans le cœur de la personne aimée l'idylle tourne au calvaire.
Cela me parait étrange !! Car après tout l'amour est un sentiment spontané 'il a des raisons que la raison ignore'. Il peu naître sans aucune raison apparente. Il se passe sans gêne de justifications et ne cherche ni le pour quoi ni le comment.
Partant de cette constatation on pourrait penser que l'amour est un sentiment spontané et indépendant de tout élément extérieur.
Et bien cela n'est valable qu'au moment de la manifestation de ce sentiment.
Ensuite c'est toute une autre histoire…
Plusieurs facteurs interfèrent avec le sentiment amoureux. Je parle de la nature profonde de l'être humain ses instincts son caractère.
Et pour en venir a l'effet du doute sur l'amour, raison première qui m'a poussée a rédiger ces lignes, je dit que le doute naît de notre désir de possession. Un désir instinctif que nous pensons légitime envers la personne aimée. Plus encore, nous exigeons comme droit acquis la réciprocité de notre amour.
Mais qu'en est il de l'autre ? De sa liberté ? De son avis ?
On ne le lui demande guère. Et même si on le lui demande, un refus n'est jamais accepté sincèrement !!
Est il concevable qu'un sentiment que nous définissons pur, nous tourne en un personnage vil et égoïste ? Un être pitoyable qui quémande l'affection d'autrui
Serai-ce notre peur d'être seul dans un monde si vaste qui nous pousse a de tels extrêmes ?
N'est il pas possible de se libérer de nos vils instinct pour pouvoir savourer l'amour, ce sentiment angélique, sans pour autant le profaner?
Mais voilà, les anges n'aiment pas, les humains si !!
Tout serait plus simple si l'amour était réciproque…..

Lettre n°1

Un nouveau jour est entrain de naître, les premiers rayons de l’aube prennent la place de l’obscurité apaisante de la nuit. Une nuit qui a été longue, une nuit où le sommeil m’a fait défaut. Une nuit, où en sculptant cette prose je me suis efforcé de renier un sentiment que depuis quelque temps me hante. Un sentiment que je repousse de toute la force que me procure ma raison. Un sentiment qui a des raisons que LA raison ignore. Cette raison qui me suggère que c’est vain que c’est un caprice dû a ma nature profonde.
J’ai des projets, des rêves que je veux concrétiser. Je veux absolument réussir comme pour me détacher de la médiocrité qui m’horrifie. Une médiocrité que je me suis appris à détester. J’aime à croire en ma destinée, une sorte de mission dont je suis chargé. C’est ce qui me donne la force de croire en moi, en mes compétence, mon potentiel. Je crois peut être en une chimère. Un tissu de mensonges que j’arbore pour faire face a une réalité plate et accablante.
Je regarde autour de moi dans mon petit monde. J’essaye de le comprendre de le décrypter. Une chose parmi tant d’autres me laisse perplexe. La misère!
En Indonésie, des gosses de seize ans vivent et travaillent dix-neuf heures par jours et onze mois par an sur des îlots artificiels en pleine mer pour dix-sept euro par mois!! Ils endurent la faim l’exploitation et n’ont ni vie sociale ni même le droit de rêver !! ils quittent leur familles leur amis et renoncent à leur enfance pour survivre. Ils sont obligés de vendre leur liberté et renoncer à leur humanité pour dix-sept euro... C’est loin d'être un cas isolé, je le sais. Mais qu’es ce que cela veut bien dire? Sont-ils moins méritant? Sont-ils plus insignifiants? Je ne suis sûr que d’une chose; c’est que j’ai du mal rien qu’en m’imaginant évoluer dans un monde tel que le leur!!
Je me pose une question: Dois-je me résilier à me contenter d’une vie stable et préalablement planifiée? Ou, au contraire, dois-je la risquer en poursuivant un idéal que je me suis fixé sans pour autant l’avoir cerné?
J’ai entendu dire que nous planifions nos vies comme pour les peindre. Le problème est que la vie nous impose le choix des couleurs!!
· Doit-on réussir sa vie ou vaut-il mieux en profiter?
· N’est-t-il pas possible de faire triompher une ambition farouche d’une réalité accablante?
· Quel est le plus court chemin vers le bonheur?

* * *

Le bonheur... C’est ce que j’entrevois à travers ses yeux. C’est ce que je ressens quand je suis en sa présence.
Elle hante mes nuits. Elle occupe mes pensées. Dans ma vision, son portrait se superpose à la réalité, comme du calque sur du papier. Je vois son visage partout ou je pose mon regard, elle altère ma réalité.
J’aimerai tant, mieux la connaître, la découvrir, la transcender. Mon plus vif désir et de faire partie de sa vie et l’impliquer dans la mienne. Partager le quotidien avec ses joies et ses peines. Faire équipe contre le destin. Fusionner nos êtres pour ne faire plus qu’un.

Mon bonheur c’est ELLE.

lundi, juin 26, 2006

Petite femme

A toi je dédie mes plus tendres pensées
Jolie petite femme au charme inné
Une âme si pure
Un sourire si spontané
Que je ne saurai exprimer
Le mystère d’une telle beauté
Un charme captivant
Un regard envoûtant
Oui c vrai mais encore !!
Je me perdrai a vouloir a tout prix te décrire
Je ne ferais qu’attiser mes désirs
Et à force de t’aimer
Je brûlerai, je me consumerai
Et de cet enfer
Seuls tes baisers
Sauraient me sauver
Les caresses
Les mots tendres que tu dirais
Rein au monde ne saurai plus me combler
Que de te savoir avec moi et pour moi
Rien qu’a moi
Et si les mots étaient musique
Je t’en jouerai des heures durant
Hymne d’amour
Pour toi ma patrie
Toi mon royaume
Toi dont chaque nuit je rêve

jeudi, juin 22, 2006

Contact


Je ne me suis jamais senti aussi vivant et heureux de l'etre qu'au moment où ma main effleurait la sienne.
Elle me fait rédecouvrir le plaisir d'aimer et souffrir, et le bonheur de l'écrire.

mercredi, juin 21, 2006

Ma solitude

Parfois la vie me sourit
Parfois elle m'ennuie
Mais le pire c'est quand elle m'oublie
Et là je me cache je m'enfuis
Je me terre dans le scilence, et dans ma tombe je cri !